Le bien-être revêt deux faces indissociables : le confort à la fois de l’être physique mais aussi le confort de l’être psychique. D’un côté la science de l’ergonomie, ses règles, ses normes, et de l’autre un aspect plus cognitif, dont les règles ne sont pas (encore) normées mais relève d’un sens humain et de l’attention, pour l’instant. Peut-être un jour le sera t-il, un attendant, le sujet suscite beaucoup d’intérêt et d’initiative, car il est source de compétitivité et de fidélité au sein de l’entreprise. Dans une enquête, auprès de 14 400 salariés et ce dans 15 pays, il en est ressorti « que le bien-être au travail est le fruit d’une équation inégale entre le cadre de travail, l’attention portée et l’émotion ressentie » (11ème édition du baromètre Edenred-Ipsos) Une entreprise aujourd’hui aura à cœur non seulement de fidéliser son personnel mais aussi être attractif auprès de nouvelle recrue. Comment ? Une « Chief Happiness Officer » déclare dans l’une de ses conférences, que l’une des conséquence directe du mieux-être dans son entreprise pour laquelle elle officiait, a été une augmentation significative de candidature spontanée. Sa « recette » ? Mettre en place les conditions de bien-être. (voir article précédent)

1- QUELS SERAIENT DONC LES AGENCEMENTS DE BUREAU QUI FAVORISERAIENT L’ATTIRANCE DE NOUVELLES RECRUES ?
Selon une enquête « mon bureau de demain, vu par les étudiants » réalisée par l’ESSEC, plusieurs tendances se dessinent et pas toujours celles à laquelle on pourrait penser.